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Théâtre d’objets qui nous transporte vers l’enfance avec de grandes doses d’affection et de tendresse. Le noeud dans la gorge est alors inévitable (Alicia Coscollano i Massip. La Calamanda)

Un petit bijou qui se déguste dans l’intimité (Dani Chicano, El País)

Un hommage aux anciens métiers disparus et un chant d'espoir.
Gombau nous surprend de nouveau par sa puissance narrative et visuelle, avec de belles images et ombres, une captivante fête des démons de la "Santantonà" et la belle scène bleue de la mer.
Suggestif, beau et avec des traditions valenciennes bien à nous. (Las Provincias, César Rus et J. Vicente Peiró).

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APunt TV
Crítica · Tian Gombau vuelve a sorprender con su poder narrativo y visual en ‘L’home que cremava pedres’
À Punt Ràdio – entrevista a Tian Gombau i Jordi Palet i Puig, 08/12/2023